Camille De Taeye Équilibres précaires, texte de Danièle Gillemon, éditions La Pierre d'Alun & CFC éditions

Camille De Taeye Équilibres précaires, texte de Danièle Gillemon, éditions La Pierre d'AlunCamille De Taeye Équilibres précaires, texte de Danièle Gillemon, éditions La Pierre d'Alun

Camille De Taeye Équilibres précaires, texte de Danièle Gillemon, éditions La Pierre d'AlunCamille De Taeye Équilibres précaires, texte de Danièle Gillemon, éditions La Pierre d'Alun

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La Pierre d’Alun a le grand plaisir de vous annoncer la parution de la monographie Camille De Taeye Équilibres précaires, texte de Danièle Gillemon. Cet ouvrage de 144 pages entièrement en couleurs, au format 22 x 28 cm, est tiré à 500 exemplaires vendus au prix unitaire de 35 eur.

Quinze premiers exemplaires de tête, signés et numérotés de 1 à 15 par Danièle Gillemon sont accompagnés d’un dessin original signé par Camille De Taeye. Ils sont vendus au prix unitaire de 600 eur, livrables uniquement au Salon d’Art. Les exemplaires de tête de cette monographie sont vendus au profit du Fonds Camille De Taeye géré par la Fondation Roi Baudouin.

Avec l’aide de la Fédération Wallonie Bruxelles

Télécharger le pdf de souscription de Camille De Taeye Équilibres précaires


Quatrième de couverture :

Si je ne peins pas, je deviens fou
Bon vivant à l‘humour dévastateur, Camille De Taeye (1938-2013) évolue en marge des modes, prolongeant de sa façon inimitable toute une lignée de peintres belges qui, de James Ensor à René Magritte, donne à la belgitude ses lettres de noblesse. Le cheval d’octobre, fresque réalisée en 1999 pour le métro bruxellois, porte son œuvre dans l’espace public. En 2018, un Fonds Camille De Taeye est créé, géré par la Fondation Roi Baudouin.

« Saisissante, lumineuse, poétique, panique... sa peinture s’en prend à l’ordre des apparences [...]. Déplacées, les choses proclament que les yeux ne sont pas en face des trous ni l’église au milieu du village. Le surréalisme ni aucune autre étiquette ne suffisent à expliquer ce chamboulement. [...] Jamais gratuite, cette Chirurgie des apparences du nom de l’un de ses tableaux crée une fiction picturale toujours en équilibre précaire entre deux pôles, la vie et la mort, l’aberration du monde et sa munificence. »
(Danièle Gillemon)